Article 1

L’humanité doit consacrer le maximum d’effort possible à la maîtrise de l’univers qui l’entoure pour son développement et le bien être de chacun.

 

Il suffit de regarder autour de nous pour constater que notre bien être dépend des productions de l'humanité. C'est particulièrement évident dans les villes où les approvisionnements, les déplacements ou le logement sont clairement des productions humaines.
C'est aussi extrêmement présent dans tous les domaines de la santé qui s'appuient sur la compréhension du fonctionnement de notre corps et de notre esprit pour proposer des thérapeutiques adaptées à nos différents problèmes.

Tout ces savoirs scientifiques, technologiques, organisationnels... se sont accumulés au cours des millénaires avec une accélération forte ces trois derniers siècles. La vitesse d'accumulation de ce savoir global, le progrès, est maintenant suffisamment grande pour que nous en ressentions les effets au cours de notre vie. En une décennie nos moyens de communications changent, de nouveaux médicaments apparaissent, de nouveaux divertissements naissent...

Pourtant nous ne consacrons qu'une infime partie de nos efforts à ces améliorations. D'après le rapport de l’Unesco sur la science, les chercheurs représentent un millième de la population mondiale et au global nous ne dépensons que 1,5 % de notre PIB pour l'ensemble de la recherche et du développement. Nous pouvons certainement faire beaucoup mieux et profiter de notre vivant d'améliorations dont nous n'arrivons pas à rêver pour l'instant.

Notre organisation actuelle gère plus un mode survie, la répartition d'une pénurie de moyens. Nous sortons tout doucement de ce mode, nous avons semé toutes les graines pour créer un progrès plus rapide, il suffit maintenant de le vouloir pour aller plus vite et améliorer nos vies et celles des générations futures.

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